Joy, une Européenne, une Belge, crie de sa voix douce son « fonnkér » « juste pour apprendre son passé, mettre des visages, des noms sur une si sombre histoire de colonisation ».
« Pour rendre aux futures générations la lumière des ancêtres ».
« On a appris à lire entre les lignes de nos manuels d’histoire ».
« Tu portes en toi le sang du maître et de l’esclave, toi métis de cœur et d’âme, refuse d’être encore une fois la victime… Laisse la haine derrière toi… »
« Apprends à assumer ton héritage, nous sommes ceux qui n’ont pas voulu tout ça, qui ne savait pas, et celui qui se sauva en assassinant ses frères… »
« Nous sommes l’espoir »…
Les mots de Joy claquent comme des coups de fouet pour nous entraîner sur la voie de l’émancipation. Une façon d’éclairer le chemin qui reste à parcourir.
Un texte ciselé, à écouter et à ré-écouter…
« Pour rendre aux futures générations la lumière des ancêtres ».
« On a appris à lire entre les lignes de nos manuels d’histoire ».
« Tu portes en toi le sang du maître et de l’esclave, toi métis de cœur et d’âme, refuse d’être encore une fois la victime… Laisse la haine derrière toi… »
« Apprends à assumer ton héritage, nous sommes ceux qui n’ont pas voulu tout ça, qui ne savait pas, et celui qui se sauva en assassinant ses frères… »
« Nous sommes l’espoir »…
Les mots de Joy claquent comme des coups de fouet pour nous entraîner sur la voie de l’émancipation. Une façon d’éclairer le chemin qui reste à parcourir.
Un texte ciselé, à écouter et à ré-écouter…