La grande distribution doit proposer une baisse importante tout de suite !
La vie est chère et la grande distribution fait la pluie et le beau temps concernant les prix à La Réunion. Lors des négociations en 2009 avec le COSPAR j’ai pu voir le cynisme des patrons de la grande distribution, pour eux c’est la rentabilité qui compte, il n’y a que les clients en capacité de payer qui les intéresse. Pour lutter contre la vie chère, il faut remettre à plat le système et cela ne pourra se faire qu’avec une conviction affichée et déterminée des futur(e)s député(e)s.
Il est possible de faire du commerce sans nuire à la rentabilité économique des entreprises mais celles-ci doivent respecter les droits du consommateur sans chercher à l’écraser.
Il faut être capable de se dire « nous en avons pour deux semaines, peut-être un mois ou trois mois », une revendication suffisamment explicite et s’organiser pour pouvoir porter ces revendications jusqu’à obtenir un gain acceptable et visible par tous. Ceci exige une détermination sans faille de tous, une équipe de négociateurs déterminés et connaissant bien les dossiers.
En se basant sur les études de l’Autorité de la concurrence, engageons une discussion sérieuse avec la grande distribution sur cette revendication : une baisse de 40% pour l’ensemble de la population.
C’est à eux de se creuser la tête pour proposer des solutions. Si ces grands patrons ne sont pas prêts à venir à une table de négociations, alors le système doit être bloqué. En 2009, une grande enseigne internationale (présente à La Réunion) a baissé de 40% 25 000 produits en Espagne. Preuve que cela est possible !
Le gouvernement doit faire des efforts
Les sorties de crise se font aussi en agissant sur le pouvoir d’achat de la population. L'ajustement des gouvernants consiste à diminuer l'argent vers le peuple - les salaires, le RSA, les pensions retraites, les aides publiques, mais également les financements des grands travaux publics qui génèrent de l'emploi - pour orienter l'argent vers les entreprises (en particulier les très grosses entreprises) en leur accordant des cadeaux fiscaux.
C'est injuste et destructeur de notre contrat social. La crise ne peut pas justifier que l’on demande des efforts aux mêmes (le peuple, les artisans ou petits entrepreneurs), alors que les banques ont été renflouées si vite que personne n’a eu le temps de constater que sa banque avait eu un problème. L’état c’est vous, c’est moi, c’est nous. L’Etat est censé protéger les plus faibles d’entre nous.
Je pose la question suivante au gouvernement : Quel pourcentage de hausse proposez-vous maintenant sur les salaires, les aides sociales, les pensions retraites ?
Quels financements accordez-vous aux régions sinistrées comme La Réunion en matière de grands travaux susceptibles de générer suffisamment d’emplois et permettre une redynamisation rapide du pays ?
Je suis prêt à aller avec vous cher Patrick Savatier à la table des négociations, je ne supporte plus comme vous de voir mes compatriotes qui souffrent et "aider les autres, c’est s’aider soi-même".
Jean Alain Cadet
Candidat EELVR aux législatives (3e circonscription)
0692 69 45 98
La vie est chère et la grande distribution fait la pluie et le beau temps concernant les prix à La Réunion. Lors des négociations en 2009 avec le COSPAR j’ai pu voir le cynisme des patrons de la grande distribution, pour eux c’est la rentabilité qui compte, il n’y a que les clients en capacité de payer qui les intéresse. Pour lutter contre la vie chère, il faut remettre à plat le système et cela ne pourra se faire qu’avec une conviction affichée et déterminée des futur(e)s député(e)s.
Il est possible de faire du commerce sans nuire à la rentabilité économique des entreprises mais celles-ci doivent respecter les droits du consommateur sans chercher à l’écraser.
Il faut être capable de se dire « nous en avons pour deux semaines, peut-être un mois ou trois mois », une revendication suffisamment explicite et s’organiser pour pouvoir porter ces revendications jusqu’à obtenir un gain acceptable et visible par tous. Ceci exige une détermination sans faille de tous, une équipe de négociateurs déterminés et connaissant bien les dossiers.
En se basant sur les études de l’Autorité de la concurrence, engageons une discussion sérieuse avec la grande distribution sur cette revendication : une baisse de 40% pour l’ensemble de la population.
C’est à eux de se creuser la tête pour proposer des solutions. Si ces grands patrons ne sont pas prêts à venir à une table de négociations, alors le système doit être bloqué. En 2009, une grande enseigne internationale (présente à La Réunion) a baissé de 40% 25 000 produits en Espagne. Preuve que cela est possible !
Le gouvernement doit faire des efforts
Les sorties de crise se font aussi en agissant sur le pouvoir d’achat de la population. L'ajustement des gouvernants consiste à diminuer l'argent vers le peuple - les salaires, le RSA, les pensions retraites, les aides publiques, mais également les financements des grands travaux publics qui génèrent de l'emploi - pour orienter l'argent vers les entreprises (en particulier les très grosses entreprises) en leur accordant des cadeaux fiscaux.
C'est injuste et destructeur de notre contrat social. La crise ne peut pas justifier que l’on demande des efforts aux mêmes (le peuple, les artisans ou petits entrepreneurs), alors que les banques ont été renflouées si vite que personne n’a eu le temps de constater que sa banque avait eu un problème. L’état c’est vous, c’est moi, c’est nous. L’Etat est censé protéger les plus faibles d’entre nous.
Je pose la question suivante au gouvernement : Quel pourcentage de hausse proposez-vous maintenant sur les salaires, les aides sociales, les pensions retraites ?
Quels financements accordez-vous aux régions sinistrées comme La Réunion en matière de grands travaux susceptibles de générer suffisamment d’emplois et permettre une redynamisation rapide du pays ?
Je suis prêt à aller avec vous cher Patrick Savatier à la table des négociations, je ne supporte plus comme vous de voir mes compatriotes qui souffrent et "aider les autres, c’est s’aider soi-même".
Jean Alain Cadet
Candidat EELVR aux législatives (3e circonscription)
0692 69 45 98