Plusieurs journalistes ont, à juste titre, insisté sur le contenu du protocole d'accord, signé entre Michel Lagourgue et Nassimah Dindar, et cela avant le premier tour des Législatives 2012. Avec sa fougue et sa verve, Ibrahim Dindar précise : "Ce document dit en effet que Michel Lagourgue devenait suppléant de Nassimah Dindar lors de la députation 2012. Et en contrepartie, la présidente du Conseil général soutiendra le conseiller régional aux Municipales 2014. C'est effectivement, ce que nous avons écrit. Mais…"
"Mais… J'ai précisé à l'intéressé que ces termes s'appliquent si le contexte lui est favorable". Le président de la Droite sociale et les autres protagonistes d'une éventuelle union de la Droite, s'appuient alors sur un sondage pour départager les trois postulants (Nassimah Dindar, René-Paul Victoria et Michel Lagourgue) à la tête de liste d'union. "Michel Lagourgue m'a demandé un délai avant de lancer l'étude d'opinions. Au lieu du mois de juin, Ipsos l'a débuté le 29 août".
"Le sondage que nous avons réalisé, a mis en exergue deux éléments. Le premier, il y a un écart probant entre d'un côté Michel Lagourgue, et de l'autre Nassimah Dindar et René-Paul Victoria. Le deuxième, c'est que le report des voix de Nassimah Dindar sur Michel Lagourgue, ne serait pas fait. C'est vrai qu'il y a un protocole d'accord. Toutefois, il y a un moment, nous devons rester réalistes. Et prendre les bonnes décisions. C'est aussi pour cela que la parole donnée à Michel Lagourgue était subordonnée au contexte pré-électoral…"
"Mais… J'ai précisé à l'intéressé que ces termes s'appliquent si le contexte lui est favorable". Le président de la Droite sociale et les autres protagonistes d'une éventuelle union de la Droite, s'appuient alors sur un sondage pour départager les trois postulants (Nassimah Dindar, René-Paul Victoria et Michel Lagourgue) à la tête de liste d'union. "Michel Lagourgue m'a demandé un délai avant de lancer l'étude d'opinions. Au lieu du mois de juin, Ipsos l'a débuté le 29 août".
"Le sondage que nous avons réalisé, a mis en exergue deux éléments. Le premier, il y a un écart probant entre d'un côté Michel Lagourgue, et de l'autre Nassimah Dindar et René-Paul Victoria. Le deuxième, c'est que le report des voix de Nassimah Dindar sur Michel Lagourgue, ne serait pas fait. C'est vrai qu'il y a un protocole d'accord. Toutefois, il y a un moment, nous devons rester réalistes. Et prendre les bonnes décisions. C'est aussi pour cela que la parole donnée à Michel Lagourgue était subordonnée au contexte pré-électoral…"