Lékritir kréol La Rényon
Notre but est de proposer, en faisant une synthèse des graphies existantes, une écriture fonctionnelle de la langue créole de La Réunion.
Elle a pour vocation de répondre aux besoins de tous les utilisateurs de la langue écrite : lecteurs, écrivains/écrivants, enseignants, élèves, communicants ...
SOMMAIRE
I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ? II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
III. QUELLES SONT NOS PRECONISATIONS ?
IV. QUELLES SUITES POUR NOS TRAVAUX ?
I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ?
A. Pluralité des graphies : conséquences négatives
Nuit à l’image de la langue
Complique le décodage des lecteurs Complique l’encodage des écrivants
Complique l’enseignement de la langue (avec et par la langue)
I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ?
B. Sollicitations
Le rectorat et les enseignants Les lecteurs
Les écrivains/écrivants
I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ?
C. Un contexte favorable
Le recul nécessaire pour la recherche de l’unité
Une plus grande tolérance de la part des écrivants
Des progrès fondamentaux dans la recherche scientifique et dans nos connaissances
I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ?
D. Attentes de l’unité graphique
Valorisation de la langue
Acquisition des automatismes nécessaires à une lecture courante
Libération des auteurs des contraintes orthographiques Cohérence graphique dans l’enseignement
II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
Remarques préliminaires :
Pas une graphie nouvelle mais utilisation des aspects fonctionnels des graphies actuelles du créole réunionnais
Cohabitation des deux langues (français/réunionnais) qui doivent être pensées en termes de symbiose (pas confusion) et non en opposition
Une écriture ouverte sur le monde moderne et les graphies des autres langues
II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
A. Les impératifs
- La prise en compte des avancées scientifiques
Sociolinguistique appliquée
Psychologie cognitive de la lecture et neurosciences
- La prise en compte des usages graphiques pertinents
Les écritures dites « spontanées » en créole réunionnais (sms, graffitis, ...) La publicité, communication commerciale
La communication institutionnelle dans le domaine sanitaire et social
La production littéraire
La communication culturelle événementielle
II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
B. L’identification des besoins
Prévention et remédiation de l’illettrisme
Distinction des codes créoles réunionnais / français
Prise en compte des mécanismes de lecture
Respect de la grammaire du créole réunionnais
II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
B. L’identification des besoins
Respect des variantes régionales de la langue créole de La Réunion (li et lu, jamé et zamé, ...) Un aspect de l’écriture polynomique
Respect des différentes fonctions de la langue notamment en poésie (l’huile tentant/tantan de Peters)
Prise en compte des outils de communication moderne en leur état Prise en compte des variantes lexicales (artourn, retourn, ...)
III. QUELLES SONT NOS PRECONISATIONS ?
A. Le cœur phonographique
B. Les apports sémiographiques (lexique mental, distinction des homographes) accès directement au sens grâce à la graphie
C. Les familles de mots
D. Notre alphabet
III. QUELLES SONT NOS PRECONISATIONS ?
E. Les principes ou positions de base
Cohabitation harmonieuse des 2 langues : français et rényoné Les familles de mots
Les homophones/homographes
F. Les règles de base
Ecriture transparente, tendre vers un signe/un son mais exceptions : an, in et on Utilisation des accents : aigu, grave et tréma
Les onomatopées et les noms d’origine étrangère : graphie d’origine
Les noms propres
Les sigles : leur graphie d’origine ? CGT, CCEE, ...
Le « e » en finale pour distinguer la forme
Mettre un « e » à la fin des formes courtes des verbes se terminant par un son consonantique ? L’usage du w
IV. QUELLES SUITES POUR NOS TRAVAUX ?
A. Etude d’autres cas spécifiques B. Découpage de la phrase
C. Répondre aux questions
D. Création de nouveaux mots
Notre but est de proposer, en faisant une synthèse des graphies existantes, une écriture fonctionnelle de la langue créole de La Réunion.
Elle a pour vocation de répondre aux besoins de tous les utilisateurs de la langue écrite : lecteurs, écrivains/écrivants, enseignants, élèves, communicants ...
SOMMAIRE
I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ? II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
III. QUELLES SONT NOS PRECONISATIONS ?
IV. QUELLES SUITES POUR NOS TRAVAUX ?
I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ?
A. Pluralité des graphies : conséquences négatives
Nuit à l’image de la langue
Complique le décodage des lecteurs Complique l’encodage des écrivants
Complique l’enseignement de la langue (avec et par la langue)
I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ?
B. Sollicitations
Le rectorat et les enseignants Les lecteurs
Les écrivains/écrivants
I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ?
C. Un contexte favorable
Le recul nécessaire pour la recherche de l’unité
Une plus grande tolérance de la part des écrivants
Des progrès fondamentaux dans la recherche scientifique et dans nos connaissances
I. POURQUOI AVONS-NOUS ENTREPRIS CE TRAVAIL ?
D. Attentes de l’unité graphique
Valorisation de la langue
Acquisition des automatismes nécessaires à une lecture courante
Libération des auteurs des contraintes orthographiques Cohérence graphique dans l’enseignement
II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
Remarques préliminaires :
Pas une graphie nouvelle mais utilisation des aspects fonctionnels des graphies actuelles du créole réunionnais
Cohabitation des deux langues (français/réunionnais) qui doivent être pensées en termes de symbiose (pas confusion) et non en opposition
Une écriture ouverte sur le monde moderne et les graphies des autres langues
II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
A. Les impératifs
- La prise en compte des avancées scientifiques
Sociolinguistique appliquée
Psychologie cognitive de la lecture et neurosciences
- La prise en compte des usages graphiques pertinents
Les écritures dites « spontanées » en créole réunionnais (sms, graffitis, ...) La publicité, communication commerciale
La communication institutionnelle dans le domaine sanitaire et social
La production littéraire
La communication culturelle événementielle
II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
B. L’identification des besoins
Prévention et remédiation de l’illettrisme
Distinction des codes créoles réunionnais / français
Prise en compte des mécanismes de lecture
Respect de la grammaire du créole réunionnais
II. COMMENT AVONS-NOUS TRAVAILLÉ ?
B. L’identification des besoins
Respect des variantes régionales de la langue créole de La Réunion (li et lu, jamé et zamé, ...) Un aspect de l’écriture polynomique
Respect des différentes fonctions de la langue notamment en poésie (l’huile tentant/tantan de Peters)
Prise en compte des outils de communication moderne en leur état Prise en compte des variantes lexicales (artourn, retourn, ...)
III. QUELLES SONT NOS PRECONISATIONS ?
A. Le cœur phonographique
B. Les apports sémiographiques (lexique mental, distinction des homographes) accès directement au sens grâce à la graphie
C. Les familles de mots
D. Notre alphabet
III. QUELLES SONT NOS PRECONISATIONS ?
E. Les principes ou positions de base
Cohabitation harmonieuse des 2 langues : français et rényoné Les familles de mots
Les homophones/homographes
F. Les règles de base
Ecriture transparente, tendre vers un signe/un son mais exceptions : an, in et on Utilisation des accents : aigu, grave et tréma
Les onomatopées et les noms d’origine étrangère : graphie d’origine
Les noms propres
Les sigles : leur graphie d’origine ? CGT, CCEE, ...
Le « e » en finale pour distinguer la forme
Mettre un « e » à la fin des formes courtes des verbes se terminant par un son consonantique ? L’usage du w
IV. QUELLES SUITES POUR NOS TRAVAUX ?
A. Etude d’autres cas spécifiques B. Découpage de la phrase
C. Répondre aux questions
D. Création de nouveaux mots