Provocation ou intimidation ? Quand le Maire confond ses propres intérêts avec ceux de la Mairie et ceux de la SODEGIS.
Je croyais dur comme fer que le maire de l’Entre-Deux n’était pas en campagne ! C’est ce qu’il avait annoncé dans les médias il y a quelques jours. Je me suis donc permis de l’interpeller sur ce fait au travers d’un article lui disant que c’était justement pour lui l’occasion de nous dire le Cap qu’il comptait donner à sa politique pour le village.
Sa réponse ne s’est pas fait attendre, non pas par voie de presse comme je l’ai fait, mais physiquement. Aujourd’hui mardi 5 novembre 2013, à 18H30 en rentrant chez moi, j’entends juste derrière ma clôture, une sono, faisant des tests avec tout le chahut que l’on devine.
Je sorts de ma maison et constate, à ma grande surprise que le maire, accompagné de pas moins de quatre élus dont le premier adjoint, et un employé communal travaillant au CCAS sont installés sur la voie publique, micro à la main …
Je lui fais part de mon étonnement, en lui disant ma surprise de le voir tenir une réunion publique en face de ma maison, ce qui est interdit car aucune campagne n’est ouverte !
Ceci pouvant être interpréter comme étant de la provocation suite à mon article ou pire, à de l’intimidation.
Comme il utilisait le matériel communal, (bancs et sono), je lui ai demandé s’il avait l’autorisation du maire ?
Étant sur le parking de la Sodegis -il en est le président- qui sert aussi de passage pour les riverains, je lui aussi demandé s’il avait l’autorisation du bailleur ?
Voilà un triste mélange des genres, on prend « un p’tit peu de courant chez un locataire » dont on sait qu’il est sous influence, et on tient sa réunion avec les bancs de la mairie, soit disant pour faire une réunion de quartier, mais en fait on vient défendre son bilan sur un parking adossé à la maison d’un opposant notoire, micro à la main.
Triste méthode d’une époque plus que révolue…
On peut s’interroger sur les pouvoirs qui s’exercent sans véritable opposition.
Je croyais dur comme fer que le maire de l’Entre-Deux n’était pas en campagne ! C’est ce qu’il avait annoncé dans les médias il y a quelques jours. Je me suis donc permis de l’interpeller sur ce fait au travers d’un article lui disant que c’était justement pour lui l’occasion de nous dire le Cap qu’il comptait donner à sa politique pour le village.
Sa réponse ne s’est pas fait attendre, non pas par voie de presse comme je l’ai fait, mais physiquement. Aujourd’hui mardi 5 novembre 2013, à 18H30 en rentrant chez moi, j’entends juste derrière ma clôture, une sono, faisant des tests avec tout le chahut que l’on devine.
Je sorts de ma maison et constate, à ma grande surprise que le maire, accompagné de pas moins de quatre élus dont le premier adjoint, et un employé communal travaillant au CCAS sont installés sur la voie publique, micro à la main …
Je lui fais part de mon étonnement, en lui disant ma surprise de le voir tenir une réunion publique en face de ma maison, ce qui est interdit car aucune campagne n’est ouverte !
Ceci pouvant être interpréter comme étant de la provocation suite à mon article ou pire, à de l’intimidation.
Comme il utilisait le matériel communal, (bancs et sono), je lui ai demandé s’il avait l’autorisation du maire ?
Étant sur le parking de la Sodegis -il en est le président- qui sert aussi de passage pour les riverains, je lui aussi demandé s’il avait l’autorisation du bailleur ?
Voilà un triste mélange des genres, on prend « un p’tit peu de courant chez un locataire » dont on sait qu’il est sous influence, et on tient sa réunion avec les bancs de la mairie, soit disant pour faire une réunion de quartier, mais en fait on vient défendre son bilan sur un parking adossé à la maison d’un opposant notoire, micro à la main.
Triste méthode d’une époque plus que révolue…
On peut s’interroger sur les pouvoirs qui s’exercent sans véritable opposition.