Houssen Amode, président du Conseil régional du culte musulman conduisait cette représentation composée des personnalités civiles et religieuses.
Cette réunion a permis de dresser un premier bilan de l'application à La Réunion de la loi du 11 octobre 2010 portant interdiction de la dissimulation du visage dans l'espace public, trois mois après l'entrée en vigueur de ce texte.
Entre le 11 avril et le 7 juillet 2011, 23 infractions ont été relevées à La Réunion : 10 à Saint-Denis, 7 à l'aéroport, 4 à Saint-Paul 1 à Saint-André et 1 à Saint-Benoît.
Toutes les femmes contrôlées ont fait l'objet d'un rappel à la loi par un officier de police judiciaire. Les participants à la rencontre se sont félicités de constater que l'application de la loi sur l'île n'a donné lieu à aucune provocation, ni incident.
Chacun convient qu'une très grande majorité des femmes musulmanes respectent la loi.
Depuis le 1er juillet, conformément aux instructions des procureurs, la deuxième phase judiciaire d'application des sanctions est entrée en vigueur.
Désormais, toute contrevenante fera l'objet d'un contrôle d'identité et devra présenter un document d'identité. Le non respect de l’interdiction est sanctionné par une peine d’amende d’un montant maximum de 150 € et/ou l’obligation de participer à un stage de citoyenneté.
Les participants à la rencontre ont décidé de poursuivre par le dialogue et la médiation les actions destinées à faciliter l'application de la loi.
Une nouvelle rencontre interviendra d'ici à la fin du mois de septembre.
Cette réunion a permis de dresser un premier bilan de l'application à La Réunion de la loi du 11 octobre 2010 portant interdiction de la dissimulation du visage dans l'espace public, trois mois après l'entrée en vigueur de ce texte.
Entre le 11 avril et le 7 juillet 2011, 23 infractions ont été relevées à La Réunion : 10 à Saint-Denis, 7 à l'aéroport, 4 à Saint-Paul 1 à Saint-André et 1 à Saint-Benoît.
Toutes les femmes contrôlées ont fait l'objet d'un rappel à la loi par un officier de police judiciaire. Les participants à la rencontre se sont félicités de constater que l'application de la loi sur l'île n'a donné lieu à aucune provocation, ni incident.
Chacun convient qu'une très grande majorité des femmes musulmanes respectent la loi.
Depuis le 1er juillet, conformément aux instructions des procureurs, la deuxième phase judiciaire d'application des sanctions est entrée en vigueur.
Désormais, toute contrevenante fera l'objet d'un contrôle d'identité et devra présenter un document d'identité. Le non respect de l’interdiction est sanctionné par une peine d’amende d’un montant maximum de 150 € et/ou l’obligation de participer à un stage de citoyenneté.
Les participants à la rencontre ont décidé de poursuivre par le dialogue et la médiation les actions destinées à faciliter l'application de la loi.
Une nouvelle rencontre interviendra d'ici à la fin du mois de septembre.
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