Suite à un appel à projet du ministère des Droits femmes en juillet 2012, relayé sur le plan local par la Délégation régionale aux droits des femmes et à l’égalité entre les femmes et les hommes, les associations réunionnaises Amafar-Epe et "Femmes des Hauts Femmes, d’Outre-Mer" ont été désignées pour mettre en place deux centres d’accueil de jour à Saint-Denis et au Tampon. Toutes les deux bénéficient d’un savoir-faire et d’une expérience dans l’accueil et l’accompagnement des femmes victimes de violences.
Aujourd’hui, les deux centres d’accueil de jour sont créés. Ils ont pour objectif de prévenir les situations d’urgence, de préparer, d’éviter ou de gérer le départ des femmes du domicile et le cas échéant de leurs enfants. Ce sont des lieux de transition d’échange et de convivialité au sein duquel les femmes victimes peuvent rompre leur isolement et recevoir dans un premier temps une aide et un soutien, sans démarche préalable.
Ces structures s’inscrivent dans une démarche de prise en charge globale des victimes, des auteur-es et des enfants. Elles sont intégrées au réseau VIF (Réseau Violences Intrafamiliales) et travaillent en lien étroit avec le service 115, numéro d’appel dédié à l’hébergement et à l’accueil d’urgence, les foyers d’hébergements d’urgence, les services de police, de gendarmerie, de la justice, les professionnels des secteurs santé et psycho- social et les associations.
Les deux accueils de jour offrent les services suivants :
- un accueil inconditionnel, une écoute favorisant l’expression et l’échange ;
- une première information relative aux droits et aux dispositifs de recours existants ;
- une orientation vers les acteurs et services spécialisés ;
- des services pratiques (boîtes aux lettres, démarches administratives, bagagerie) ;
- une aide à l’insertion ;
- des groupes de paroles de femmes victimes de violences ;
- un accueil spécifique des enfants : garderie, ateliers.
Aujourd’hui, les deux centres d’accueil de jour sont créés. Ils ont pour objectif de prévenir les situations d’urgence, de préparer, d’éviter ou de gérer le départ des femmes du domicile et le cas échéant de leurs enfants. Ce sont des lieux de transition d’échange et de convivialité au sein duquel les femmes victimes peuvent rompre leur isolement et recevoir dans un premier temps une aide et un soutien, sans démarche préalable.
Ces structures s’inscrivent dans une démarche de prise en charge globale des victimes, des auteur-es et des enfants. Elles sont intégrées au réseau VIF (Réseau Violences Intrafamiliales) et travaillent en lien étroit avec le service 115, numéro d’appel dédié à l’hébergement et à l’accueil d’urgence, les foyers d’hébergements d’urgence, les services de police, de gendarmerie, de la justice, les professionnels des secteurs santé et psycho- social et les associations.
Les deux accueils de jour offrent les services suivants :
- un accueil inconditionnel, une écoute favorisant l’expression et l’échange ;
- une première information relative aux droits et aux dispositifs de recours existants ;
- une orientation vers les acteurs et services spécialisés ;
- des services pratiques (boîtes aux lettres, démarches administratives, bagagerie) ;
- une aide à l’insertion ;
- des groupes de paroles de femmes victimes de violences ;
- un accueil spécifique des enfants : garderie, ateliers.