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Comment s’enrichir en jouant la carte de la victimisation !


Citoyen
Samedi 5 Mars 2016


Une nouvelle fois, les Moussajee n’ont pas convaincus la justice ! Le 26 janvier dernier, le juge de l’exécution de Saint Denis a mis « en sursis » les tentatives de saisies qu’ils ont menées sur les comptes bancaires de la SOGECORE en juin 2015. La Sogecore a pu démontrer que lesdites saisies n’étaient a priori pas fondées.


Il est tout de même important de rappeler que les consorts Moussajee ont déjà perçu 1 232 106,63 euros entre 2013 et 2014 (en exécution d’arrêts et de décision du Président de la Cour d’appel).
 
A ce jour, pour une affaire définitivement fixée en justice à 456 662,88 euros (payée aussi par la SOGECORE), les Consorts Moussajee ont perçu 1 688 769, 51 euros !
 
Sans compter les 504 264,88 euros supplémentaires que la Sogecore a consigné à la Caisse des dépôts et consignations en décembre 2014, en attendant que la Cour d’appel de Paris, saisie sur renvoi après cassation favorable, ne statue de nouveau.
 
Et comme si cela ne leur suffisait pas, les Consorts Moussajee décident alors de saisir encore une somme de 700 000 euros (500 000 euros environ et récupérer directement sur les comptes de Sogecore cette dernière somme augmentée d’à peu près 200 000 euros de prétendus intérêts de retard).
 
La décision du 26 janvier de justice vient donc contrarier ce plan. Mais est ce que cela  empêchera-t-il les Moussajee de continuer à affirmer qu’ils n'ont toujours pas été payés et d’introduire de nouvelles procédures à des fins indemnitaires ? Plus rien ne nous étonne !
 
Moralité de l’histoire, pour certains qui se disent lanceurs d’alerte et victimes du système, les procédures judiciaires peuvent se révéler être un véritable business personnel.
 
A suivre….

P. Payet


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