C'est drôle, c'est pourtant seul et sans partage qu'il "règne" (le mot n'est pas trop fort) sur les institutions françaises avec la collusion de médias majoritairement à gauche. L'ouverture de ce gouvernement, c'est la présence d'un parti qui ne représente quasiment rien. Hormis un portefeuille des moins importants donné à EELV qui l'est encore moins, force est de constater que le PS n'aiment pas s'ouvrir aux autres, encore moins aux chefs d'entreprises, inexistants en ses rangs. Si cela, ce n'est pas du sectarisme, qu'on me dise alors ce dont il s'agit ?
Avec sa jumelle l'UMP, ils se font les yeux doux depuis plus de trente ans, s'amusant à « fuis-moi je te suis, suis-moi, je te fuis ». Ils rivalisent ensemble depuis tout ce temps pour se partager le pouvoir et les privilèges. D'ingéniosité aussi, dans l'échec des politiques qu'ils mettent alternativement en place. Comment dès lors s'étonner que les citoyens français les aient aujourd'hui catalogués, voire refoulés ?
Certains de l'UMP ont compris que la situation catastrophique de nos compatriotes et de la France en général, risquaient de devenir irréversible. Pour eux, le théâtre de "Guignol" semble terminé. Et la surprise nous vient de l'ancien 1er ministre lui-même, qui refuse le « Diktat » imposé par son jumeau le PS. M. Fillon a semble t-il compris enfin, l'arnaque socialiste du fameux « front républicain ». Bienvenue parmi les vivants M. Fillon !
En quoi, des accords de désistement réciproques aux municipales seraient-ils « anti républicain » et mettraient-ils en danger la démocratie ? Quelle idée saugrenue et tendancieuse, voire malsaine pour nos démocrates d'opérette d'affirmer cela. En quoi un parti représentant plus de 16 % des électeurs ne pourrait-il pas prétendre à être éligible et pouvoir représenter ceux et celles qui le conduise aux affaires (municipales...) d'une cité ?
C'est toujours la même chose avec ces "socialistes" à la française. La seule démocratie qu'ils admettent est la leur. Une démocratie, il n'y en a qu'une et comme la Loi, elle se doit d'être respectée par tous. Y compris par les socialistes !
J'entends encore Jean-Marc Ayrault, vitupérer et paniquer à l'idée que leur fameux piège du « Front républicain » ne puisse plus aussi bien fonctionner. De l'autre côté, l'infâme Jean François Copé, plus occupé à tenter de préserver une UMP divisée sur le sujet, mais dont ils se veut le chef incontesté, mais fait encore allégeance au chef du gouvernement, à la mode d'un "je t'aime, moi non plus"…
Alors puisque qu'il faut, à la demande d'un 1er ministre et d'un président socialistes, clarifier la situation, j'affirme ici, que c'est d'un cordon sanitaire contre le sectarisme du PS dont les Français auraient aujourd'hui besoin...
Avec sa jumelle l'UMP, ils se font les yeux doux depuis plus de trente ans, s'amusant à « fuis-moi je te suis, suis-moi, je te fuis ». Ils rivalisent ensemble depuis tout ce temps pour se partager le pouvoir et les privilèges. D'ingéniosité aussi, dans l'échec des politiques qu'ils mettent alternativement en place. Comment dès lors s'étonner que les citoyens français les aient aujourd'hui catalogués, voire refoulés ?
Certains de l'UMP ont compris que la situation catastrophique de nos compatriotes et de la France en général, risquaient de devenir irréversible. Pour eux, le théâtre de "Guignol" semble terminé. Et la surprise nous vient de l'ancien 1er ministre lui-même, qui refuse le « Diktat » imposé par son jumeau le PS. M. Fillon a semble t-il compris enfin, l'arnaque socialiste du fameux « front républicain ». Bienvenue parmi les vivants M. Fillon !
En quoi, des accords de désistement réciproques aux municipales seraient-ils « anti républicain » et mettraient-ils en danger la démocratie ? Quelle idée saugrenue et tendancieuse, voire malsaine pour nos démocrates d'opérette d'affirmer cela. En quoi un parti représentant plus de 16 % des électeurs ne pourrait-il pas prétendre à être éligible et pouvoir représenter ceux et celles qui le conduise aux affaires (municipales...) d'une cité ?
C'est toujours la même chose avec ces "socialistes" à la française. La seule démocratie qu'ils admettent est la leur. Une démocratie, il n'y en a qu'une et comme la Loi, elle se doit d'être respectée par tous. Y compris par les socialistes !
J'entends encore Jean-Marc Ayrault, vitupérer et paniquer à l'idée que leur fameux piège du « Front républicain » ne puisse plus aussi bien fonctionner. De l'autre côté, l'infâme Jean François Copé, plus occupé à tenter de préserver une UMP divisée sur le sujet, mais dont ils se veut le chef incontesté, mais fait encore allégeance au chef du gouvernement, à la mode d'un "je t'aime, moi non plus"…
Alors puisque qu'il faut, à la demande d'un 1er ministre et d'un président socialistes, clarifier la situation, j'affirme ici, que c'est d'un cordon sanitaire contre le sectarisme du PS dont les Français auraient aujourd'hui besoin...