Quel est votre diagnostic de la situation à la Petite-Ile ?
Nous avons fait du surplace, et lorsqu'on n'avance pas, on recule, donc le diagnostic est négatif : nous avons régressé au cours de ces cinq dernières années. Personnellement, ce n'est pas la faute de Guito Ramoune. Plusieurs éléments sont à l'origine de cet échec.
Lesquels ?
Il y a d'abord le contexte dans lequel s'est déroulé la fusion des listes au second tour des Municipales 2008. Ainsi, Guito Ramoune a remis en cause la ligne de conduite qu'il avait à l'issue du premier tour. Il y a eu aussi le rôle nocif de certains adjoints, ceux-là l'ont plus torpillé qu'aidé. Les décisions se prenaient pas à la Petite-Ile, mais de la commune voisine. Certains voulaient diriger deux communes en même temps.
C'était une bonne ou une mauvaise chose ?
Cette attitude n'a pas servi notre camp politique. Les premières personnes à en pâtir, ce sont les habitants de la Petite-Ile, Ce climat est également néfaste à la bonne gestion de la commune. Aujourd'hui, il faut repartir sur de nouvelles bases, pour reconstruire, que ce soit sur le plan de développement, que ce soit sur la gestion des élus et des ressources humaines. La valorisation du personnel communal et l'animation, sont deux aspects essentiels dans la remise en cause.
C'est-à-dire ?
Par exemple en sport, si l'équipe de foot se porte bien, les autres activités sportives de la Petite-ile, ont disparu. Au niveau tourisme, Grande-Anse est à l'abandon. Le relais est malmené. Nous avons besoin d'une nouvelle équipe, de nouvelles têtes pour que demain la Petite-Ile revive. Et que l'on se sent mieux à Petite-Ile. C'est mon combat.
Vous parler des Municipales 2014 ?
Mon slogan, c'est : réunir pour réussir. Je suis en train de rassembler les bonnes volontés, les compétences, et en faire une équipe dynamique au service de la Petite-Ile.
Sur la vidéo : Axel Zettor commente la décision de Guito Ramoune, maire de la Petite-Ile de ne pas se représenter.
Nous avons fait du surplace, et lorsqu'on n'avance pas, on recule, donc le diagnostic est négatif : nous avons régressé au cours de ces cinq dernières années. Personnellement, ce n'est pas la faute de Guito Ramoune. Plusieurs éléments sont à l'origine de cet échec.
Lesquels ?
Il y a d'abord le contexte dans lequel s'est déroulé la fusion des listes au second tour des Municipales 2008. Ainsi, Guito Ramoune a remis en cause la ligne de conduite qu'il avait à l'issue du premier tour. Il y a eu aussi le rôle nocif de certains adjoints, ceux-là l'ont plus torpillé qu'aidé. Les décisions se prenaient pas à la Petite-Ile, mais de la commune voisine. Certains voulaient diriger deux communes en même temps.
C'était une bonne ou une mauvaise chose ?
Cette attitude n'a pas servi notre camp politique. Les premières personnes à en pâtir, ce sont les habitants de la Petite-Ile, Ce climat est également néfaste à la bonne gestion de la commune. Aujourd'hui, il faut repartir sur de nouvelles bases, pour reconstruire, que ce soit sur le plan de développement, que ce soit sur la gestion des élus et des ressources humaines. La valorisation du personnel communal et l'animation, sont deux aspects essentiels dans la remise en cause.
C'est-à-dire ?
Par exemple en sport, si l'équipe de foot se porte bien, les autres activités sportives de la Petite-ile, ont disparu. Au niveau tourisme, Grande-Anse est à l'abandon. Le relais est malmené. Nous avons besoin d'une nouvelle équipe, de nouvelles têtes pour que demain la Petite-Ile revive. Et que l'on se sent mieux à Petite-Ile. C'est mon combat.
Vous parler des Municipales 2014 ?
Mon slogan, c'est : réunir pour réussir. Je suis en train de rassembler les bonnes volontés, les compétences, et en faire une équipe dynamique au service de la Petite-Ile.
Sur la vidéo : Axel Zettor commente la décision de Guito Ramoune, maire de la Petite-Ile de ne pas se représenter.
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