"La guerre sur les prises en charge des autismes, semble ouverte. Dans cette guerre, c’est une fois de plus, l’hôpital psychiatrique qui s’avère être stigmatisé. Certaines associations préconisent que, les méthodes comportementales et éducatives pour les autismes.
Pour ces mêmes associations, l’approche thérapeutique n’a pas de place à leurs yeux et de conclure que le sanitaire coûte trop cher, à comparer aux structures médico-sociales.
Ceux qui connaissent les hôpitaux de jour, les parents, eux ils savent, que les prises en charge entre structures de soins, structures éducatives et structures pédagogiques sont des approches complémentaires, profitables à évolutions de leurs enfants. Ce sont ces approches, qui faudra soutenir et défendre dans l’intérêt de ces personnes aux syndromes autistiques.
C’est une vérité de dire que le socle des connaissances et des recommandations de bonnes pratiques devra être en veille permanente. D’ailleurs, comment ne pas prioriser des formations plus soutenues, pour le personnel travaillant avec des personnes autismes ?
Pour le reste, la ministre déléguée des personnes handicapées Marie-Arlette Carlotti a annoncé, que dans ce troisième plan, le gouvernement va bâtir sa feuille de route à travers trois grandes orientations : Intensifier et soutenir la recherche sur l’autisme.
Améliorer le dépistage et le diagnostic précoces, développer des prises en charge précoces et se diriger vers un accompagnement global, afin de proposer de véritable parcours de vie axé sur l’inclusion en milieu ordinaire, création de classes d’inclusion scolaire spécifique et la scolarisation des jeunes autistes devra ainsi être confortée, dans le cadre d'une prise en charge globale…etc.
Bien sûr, devant ce "diagnostic", une attention particulière doit être recherchée quant aux besoins de places dans les structures spécialisées ainsi qu’un personnel d'encadrement encore mieux former.
Mais, il faut aussi surtout, faire tomber tous les préjugés véhiculés ici et là, aussi bien sur l’autisme que sur l’hôpital psychiatrique. Mieux encore, faut-il poser la question, si l’autisme est un handicap ou une maladie ? Ou bien de proposer des actions globales et complémentaires ?
Cette guerre entre l’approche éducative et l’approche thérapeutique n’a pas lieu d’être. Battons-nous pour que la recherche avance et arrêtez de croire que le milieu psychiatrique est coupé de toute vie sociale".
Pour ces mêmes associations, l’approche thérapeutique n’a pas de place à leurs yeux et de conclure que le sanitaire coûte trop cher, à comparer aux structures médico-sociales.
Ceux qui connaissent les hôpitaux de jour, les parents, eux ils savent, que les prises en charge entre structures de soins, structures éducatives et structures pédagogiques sont des approches complémentaires, profitables à évolutions de leurs enfants. Ce sont ces approches, qui faudra soutenir et défendre dans l’intérêt de ces personnes aux syndromes autistiques.
C’est une vérité de dire que le socle des connaissances et des recommandations de bonnes pratiques devra être en veille permanente. D’ailleurs, comment ne pas prioriser des formations plus soutenues, pour le personnel travaillant avec des personnes autismes ?
Pour le reste, la ministre déléguée des personnes handicapées Marie-Arlette Carlotti a annoncé, que dans ce troisième plan, le gouvernement va bâtir sa feuille de route à travers trois grandes orientations : Intensifier et soutenir la recherche sur l’autisme.
Améliorer le dépistage et le diagnostic précoces, développer des prises en charge précoces et se diriger vers un accompagnement global, afin de proposer de véritable parcours de vie axé sur l’inclusion en milieu ordinaire, création de classes d’inclusion scolaire spécifique et la scolarisation des jeunes autistes devra ainsi être confortée, dans le cadre d'une prise en charge globale…etc.
Bien sûr, devant ce "diagnostic", une attention particulière doit être recherchée quant aux besoins de places dans les structures spécialisées ainsi qu’un personnel d'encadrement encore mieux former.
Mais, il faut aussi surtout, faire tomber tous les préjugés véhiculés ici et là, aussi bien sur l’autisme que sur l’hôpital psychiatrique. Mieux encore, faut-il poser la question, si l’autisme est un handicap ou une maladie ? Ou bien de proposer des actions globales et complémentaires ?
Cette guerre entre l’approche éducative et l’approche thérapeutique n’a pas lieu d’être. Battons-nous pour que la recherche avance et arrêtez de croire que le milieu psychiatrique est coupé de toute vie sociale".