Pauvre Zilbèr Anèt
Et ça ne s’est pas amélioré par la suite ! Après le bras-de-fer ou le doigt d’honneur (chacun choisira) du Gouvernement français aux Comores et le boycott des jeux par les Comoriens, les organisateurs décident d’interdire tout drapeau et tout hymne nationaux. La décision fait scandale dans tous les pays participants. A La Réunion, symboliquement, Nassimah Dindar se drape de « bleu blanc rouge » et chante la Marseillaise avec Mathieu Dafreville, judoka en or.
Et pendant ce temps… Pendant ce temps, le fils du maire (par ailleurs directeur de son cabinet) dans les tribunes (à croire qu’être directeur de cabinet laisse pas mal de temps libre à la mairie) balance de droite et de gauche le drapeau réunionnais que son patron de papa lui a remis. Je n’ai rien contre le drapeau réunionnais. Mais ce jour-là, l’enjeu était autrement important : il fallait dénoncer la décision idiote des organisateurs, et dire à tous les sportifs participants qu’ils ont le droit d’être fiers d’être Français, Seychellois, Maldiviens, Mauriciens, Malgaches (et Comoriens) et que nul ne peut les priver de ce droit. C’est d’ailleurs ce que dit aussi le public présent dans tous les stades en chantant la Marseillaise a cappella.
Ben non, chez les Annette père et fils, on est, une fois de plus, à contre-courant ! Quand on dénigre notre hymne et notre drapeau, ce que les Réunionnais attendent, c’est une manifestation forte de nos politiques pour les revaloriser, pas pour au contraire, les rabaisser davantage, en faisant comme si de rien n’était ! Ce n’est d’ailleurs pas le drapeau réunionnais dont se sont spontanément saisis les athlètes de notre île, mais du drapeau français. Prenez en leçon, M le Maire !
Et pendant ce temps… Pendant ce temps, le fils du maire (par ailleurs directeur de son cabinet) dans les tribunes (à croire qu’être directeur de cabinet laisse pas mal de temps libre à la mairie) balance de droite et de gauche le drapeau réunionnais que son patron de papa lui a remis. Je n’ai rien contre le drapeau réunionnais. Mais ce jour-là, l’enjeu était autrement important : il fallait dénoncer la décision idiote des organisateurs, et dire à tous les sportifs participants qu’ils ont le droit d’être fiers d’être Français, Seychellois, Maldiviens, Mauriciens, Malgaches (et Comoriens) et que nul ne peut les priver de ce droit. C’est d’ailleurs ce que dit aussi le public présent dans tous les stades en chantant la Marseillaise a cappella.
Ben non, chez les Annette père et fils, on est, une fois de plus, à contre-courant ! Quand on dénigre notre hymne et notre drapeau, ce que les Réunionnais attendent, c’est une manifestation forte de nos politiques pour les revaloriser, pas pour au contraire, les rabaisser davantage, en faisant comme si de rien n’était ! Ce n’est d’ailleurs pas le drapeau réunionnais dont se sont spontanément saisis les athlètes de notre île, mais du drapeau français. Prenez en leçon, M le Maire !