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Comme l’a souligné et même chanté Tintin, « mon lang, li min la konsyans mon péi ».
Nous avons su sortir de l’ornière dans laquelle nous avait souvent entrainé certaines politiques culturelles.
Aujourd’hui une nouvelle politique culturelle émerge, prenant ses racines dans la réalité populaire en donnant la parole à toutes les richesses de notre monde Réunionnais.
À Saint-Paul, berceau du peuple Réunionnais, nous apprécions les bourgeons de ce que sera la prochaine floraison de l’écrit créole.
Notre langue maternelle s’affirme dans les domaines de la création, « pou amont nout gayar ».
Comme pour nos modèles d’hier, les Marons, nous avons souvent dû faire sans moyen.
Aujourd’hui ce sont des esprits éclairés qui accompagnent le mouvement d’émancipation Réunionnaise.
Nous avons su sortir de l’ornière dans laquelle nous avait souvent entrainé certaines politiques culturelles.
Aujourd’hui une nouvelle politique culturelle émerge, prenant ses racines dans la réalité populaire en donnant la parole à toutes les richesses de notre monde Réunionnais.
À Saint-Paul, berceau du peuple Réunionnais, nous apprécions les bourgeons de ce que sera la prochaine floraison de l’écrit créole.
Notre langue maternelle s’affirme dans les domaines de la création, « pou amont nout gayar ».
Comme pour nos modèles d’hier, les Marons, nous avons souvent dû faire sans moyen.
Aujourd’hui ce sont des esprits éclairés qui accompagnent le mouvement d’émancipation Réunionnaise.