Une floraison artistique des îlets réunionnais se révèle sous les étoiles du jardin d'Ama…
Des courants réunionnais d'expression musicale sortent de leurs îlets respectifs pour se rencontrer et produire une œuvre joyeuse pour les cœurs dans une grande mélancolie.
C'est une facette de ce regard sur les agressions contre les valeurs de cette société créole de l'Océan Indien.
Autour d'une conférence de Philippe CADET sur le thème du danger de remplacement qui guette les composantes de ce peuple réunionnais, c'est un moment de prise de conscience !
Cette chanson-communion d'avec nos Zanar, Goulou, Zansét… sonne le rassemblement.
Des courants réunionnais d'expression musicale sortent de leurs îlets respectifs pour se rencontrer et produire une œuvre joyeuse pour les cœurs dans une grande mélancolie.
C'est une facette de ce regard sur les agressions contre les valeurs de cette société créole de l'Océan Indien.
Autour d'une conférence de Philippe CADET sur le thème du danger de remplacement qui guette les composantes de ce peuple réunionnais, c'est un moment de prise de conscience !
Cette chanson-communion d'avec nos Zanar, Goulou, Zansét… sonne le rassemblement.
Les paroles de cette chanson interprétée par Manon s'étalent comme une couverture bienveillante sur les draps glacés de nos expériences douloureuses…
Pourquoi faut-il attendre un ordre pour exister ?
L'ordre du maître qui autorise l'expression du Maloya seulement le 20 décembre !
Notre liberté !
Celle qui consiste à avoir du mal à boucler les fins de mois ruinées par des crédits insolvables…
La difficile reconnaissance de nos zarboutans…
Rendre un hommage à Didier Lansor ou Wilhiam Zitte et tous les autres, est trop souvent un exercice périlleux.
C'est souvent se heurter à des égos d'enfants gâtés qui se croient propriétaires de la vie…
Ce soir, c'est un Maloya pléré des sons de nos différences qui fait l'union des îlets de notre peuple multicolor.
Pourquoi faut-il attendre un ordre pour exister ?
L'ordre du maître qui autorise l'expression du Maloya seulement le 20 décembre !
Notre liberté !
Celle qui consiste à avoir du mal à boucler les fins de mois ruinées par des crédits insolvables…
La difficile reconnaissance de nos zarboutans…
Rendre un hommage à Didier Lansor ou Wilhiam Zitte et tous les autres, est trop souvent un exercice périlleux.
C'est souvent se heurter à des égos d'enfants gâtés qui se croient propriétaires de la vie…
Ce soir, c'est un Maloya pléré des sons de nos différences qui fait l'union des îlets de notre peuple multicolor.