Je ne reviendrai pas sur le mariage pour tous et la volonté insidieuse de détruire la famille. Mais, aujourd’hui, une nouvelle attaque contre l’église est lancée. Au nom de quoi veut-elle supprimer un jour férié de fête catholique au profit de toute autre confession ou groupe spirituel ?
De la laïcité ?
De l’équité ou de l’égalité ?
Du dialogue interreligieux ?
Les explications sont difficiles et il est difficile aussi d’accepter une atteinte aussi profonde. Voudrait-elle créer un problème là où il n’y en a pas qu’elle ne s’y prendrait pas autrement.
Et la loi MACRON, si contestée par ailleurs, qui contient le projet de suppression, lui donnera raison contre l’église catholique.
Le représentant des évêques de France s’est dit choqué par une telle décision et le combat mené par les socialistes contre l’Eglise.
On ne peut ignorer que le catholicisme, même si l’Etat est laïc, est la substance spirituelle même de la France depuis la nuit des temps et, donc, un ciment et une valeur de la société française. Par conséquent, l’acceptation de cette proposition par Monseigneur Gilbert AUBRY (l’évêque de Guyane aussi) est d’abord incompréhensible et ensuite un outrage même à cette religion qu’il est censé représenter et guider.
Que cherche-t-il ?
Et mieux, au nom de qui parle-t-il ?
Je voudrais dire, enfin, que je ne suis pas contre toute autre religion ou forme de spiritualité, contre les personnes qui composent depuis longtemps, et souvent au prix du sang de leurs ancêtres, toute la société réunionnaise. Et, je dis qu’ils ont droit aussi à des égards, à de la reconnaissance qui doivent se traduire en actes concrets. Mais cela ne doit pas se faire au détriment de l’église catholique, si profondément ancrée aussi à La Réunion. Et il ne s’agit pas non plus de donner à celle-ci une position dominante voire écrasante mais de respect et de fraternité.
Le gouvernement et la députée (en premier lieu) doivent à mon sens trouver une autre solution, une autre approche de ce qui est devenu un problème maintenant.
Quant à Monseigneur AUBRY…
De la laïcité ?
De l’équité ou de l’égalité ?
Du dialogue interreligieux ?
Les explications sont difficiles et il est difficile aussi d’accepter une atteinte aussi profonde. Voudrait-elle créer un problème là où il n’y en a pas qu’elle ne s’y prendrait pas autrement.
Et la loi MACRON, si contestée par ailleurs, qui contient le projet de suppression, lui donnera raison contre l’église catholique.
Le représentant des évêques de France s’est dit choqué par une telle décision et le combat mené par les socialistes contre l’Eglise.
On ne peut ignorer que le catholicisme, même si l’Etat est laïc, est la substance spirituelle même de la France depuis la nuit des temps et, donc, un ciment et une valeur de la société française. Par conséquent, l’acceptation de cette proposition par Monseigneur Gilbert AUBRY (l’évêque de Guyane aussi) est d’abord incompréhensible et ensuite un outrage même à cette religion qu’il est censé représenter et guider.
Que cherche-t-il ?
Et mieux, au nom de qui parle-t-il ?
Je voudrais dire, enfin, que je ne suis pas contre toute autre religion ou forme de spiritualité, contre les personnes qui composent depuis longtemps, et souvent au prix du sang de leurs ancêtres, toute la société réunionnaise. Et, je dis qu’ils ont droit aussi à des égards, à de la reconnaissance qui doivent se traduire en actes concrets. Mais cela ne doit pas se faire au détriment de l’église catholique, si profondément ancrée aussi à La Réunion. Et il ne s’agit pas non plus de donner à celle-ci une position dominante voire écrasante mais de respect et de fraternité.
Le gouvernement et la députée (en premier lieu) doivent à mon sens trouver une autre solution, une autre approche de ce qui est devenu un problème maintenant.
Quant à Monseigneur AUBRY…