Mais où sont les anciens dirigeants de l’association ? Pourquoi ne les interviewe-t-on pas ? Pourquoi ne demande-t-on pas aux Jacquemard, Périgaud, tous deux aussi à la mairie de Saint-Denis, pourquoi ils n’ont pas suivi les recommandations des cabinets d’audit ? Pourquoi ne leur demande-t-on pas leurs responsabilités dans ce qui fut, il faut le reconnaître, un énorme gâchis social pour les centaines de salariés ?
Sans doute est-il plus porteur de mettre toujours devant les élus, ceux par qui tout arrive, responsables de tout ! Ils ont arrêté les subventions, qui étaient dépensées sans compter et sans que jamais la barre de l’association ne soit redressée ?
Coupables ! Ils auraient continué à dépenser à fonds perdus nos impôts ?
Coupables.
Et pendant ce temps, ceux qui étaient aux manettes se cachent, se terrent, bien contents d’échapper et bien heureux de ne pas avoir de comptes à rendre.
Coupables ! Ils auraient continué à dépenser à fonds perdus nos impôts ?
Coupables.
Et pendant ce temps, ceux qui étaient aux manettes se cachent, se terrent, bien contents d’échapper et bien heureux de ne pas avoir de comptes à rendre.
Tout ça me dégoûte ! Cette curie médiatique, ce plaisir à raviver la souffrance des salariés, ce pavoisement des Junot et Libel qui jouent les héros roulant des épaulettes ou faussement modestes, cette fuite des dirigeants qui se complaisent dans un silence méprisant, une cuillère d’argent dans la bouche : dégoût, dégoût, dégoût !
Je ne souhaite plus qu’une chose : qu’on en finisse !
Que les anciens salariés obtiennent gain de cause et que La Réunion tourne la page !
Je ne souhaite plus qu’une chose : qu’on en finisse !
Que les anciens salariés obtiennent gain de cause et que La Réunion tourne la page !