Comment définissez-vous cette lutte contre la violence ?
Aujourd'hui, il est important de mettre l'accent sur la lutte contre les violences à l'égard des hommes, des femmes et des enfants. Et qu'il est essentiel de prendre en compte ces trois paramètres pour enrayer la violence qui est l'ennemie de la vie. Le plateforme qui a été confirmée lors de ce séminaire, c'est l'utilisation des outils.
Quel est selon vous, le dénominateur commun ?
Il s'agit de mettre en place tous les dispositifs législatifs et associatifs pour trouver les remèdes les plus efficaces. Nous avons là un destin commun, et il ne date pas d'hier. Car, nous avons aussi en commun une histoire. Nous devons prendre en compte ce paramètre. Nous avons tous été, hommes, femmes et enfants, victimes de la traite.
C'est-à-dire…
Et, une fois que nous avons débarqué dans les plantations, nous avons été l'objet et le patrimoine de ces maîtres. Ces maîtres ont réduit l'espace de liberté aussi bien de l'homme que la femme. La servitude pour la femme, c'était aussi des violences sexuelles. Sans ressasser sans cesse le passé, il nous faut tout de même tenir compte de ce héritage, pesant à bien des niveaux.
Cette lutte ne doit pas être une bataille pour l'égalité entre les hommes et les femmes ?
Lorsque l'on parle de la place de la femme aujourd'hui en politique, il ne faut pas oublier celles qui ont le courage de se rebeller contre les inégalités et les injustices, et cela aux côtés de leur compagnon "marron". Aujourd'hui encore dans cette lutte contre les violences, il ne faut séparer l'enfant, l'homme et la femme.
C'est tous contre la violence ?
D'une manière générale, cela doit être une lutte commune et solidaire contre la violence…
Aujourd'hui, il est important de mettre l'accent sur la lutte contre les violences à l'égard des hommes, des femmes et des enfants. Et qu'il est essentiel de prendre en compte ces trois paramètres pour enrayer la violence qui est l'ennemie de la vie. Le plateforme qui a été confirmée lors de ce séminaire, c'est l'utilisation des outils.
Quel est selon vous, le dénominateur commun ?
Il s'agit de mettre en place tous les dispositifs législatifs et associatifs pour trouver les remèdes les plus efficaces. Nous avons là un destin commun, et il ne date pas d'hier. Car, nous avons aussi en commun une histoire. Nous devons prendre en compte ce paramètre. Nous avons tous été, hommes, femmes et enfants, victimes de la traite.
C'est-à-dire…
Et, une fois que nous avons débarqué dans les plantations, nous avons été l'objet et le patrimoine de ces maîtres. Ces maîtres ont réduit l'espace de liberté aussi bien de l'homme que la femme. La servitude pour la femme, c'était aussi des violences sexuelles. Sans ressasser sans cesse le passé, il nous faut tout de même tenir compte de ce héritage, pesant à bien des niveaux.
Cette lutte ne doit pas être une bataille pour l'égalité entre les hommes et les femmes ?
Lorsque l'on parle de la place de la femme aujourd'hui en politique, il ne faut pas oublier celles qui ont le courage de se rebeller contre les inégalités et les injustices, et cela aux côtés de leur compagnon "marron". Aujourd'hui encore dans cette lutte contre les violences, il ne faut séparer l'enfant, l'homme et la femme.
C'est tous contre la violence ?
D'une manière générale, cela doit être une lutte commune et solidaire contre la violence…