Education :
- En tant que "socialistes", l’EN est un moyen de tendre vers l’égalité d’accès au savoir et à la culture.
- En tant que "républicain", l’EN est un outil indispensable pour la souveraineté du peuple et l’émancipation des citoyens (Condorcet : "Des citoyens qui ne s’en laissent pas conter mais qui entendent qu’on leur rende des comptes.")
- En tant que français, l’EN est la ressource des Etats sans ressource.
Abrogations et arrêts :
- Suppressions de postes.
- Réforme de la formation des maîtres (réinstaurer une formation d’un an au moins).
- Versement de fonds publics vers l’enseignement privé (7 Mds pour écoles, collèges et lycées et 2 Mds pour le supérieur) (Lois Debré 1959 et Carle 2004 (facturation aux communes des frais de déplacement des élèves inscrits en école primaires privée même située hors de leur territoire : 500 M).
- Circulaire antilaïque du 28 mars 2001 « Code de bonne conduite des interventions des entreprises en milieu scolaire »)
Rappel : « les établissements scolaires sont libres de s’associer à une action de partenariat » par laquelle une entreprise « pourra faire apparaître discrètement sa marque » sur des "documents qui seront remis aux élèves"..
- Mesures qui conduisent à la suppression de la carte scolaire.
- Accord Vatican-Kouchner du 18/12/08 qui nie le monopole de la collation des grades universitaires en instaurant la reconnaissance par l’Etat des diplômes de l’enseignement supérieur catholique.
- Pacte sur la recherche et la loi LRU
- Décret Pécresse sur le statut des enseignants-chercheurs
- Décret Morano (Baisse de la qualité – déqualification du personnel et augmentation des seuils par adulte – des accueils des préscolaires et introduction de la Petite Enfance parmi les activités ouvertes à la concurrence conformément à la directive européenne "Services").
- Dispositif Raffarin de 2004 (portant « création de structures privées financées en partie sur fonds publics)
- Mesures sur le bac pro en 3 ans.
- Loi Fillon de 2005 et réformes Chatel des lycées
- Aides fiscales offertes aux officines de soutien scolaire.
- Opt out pour la directive européenne « Services »
Nos propositions :
- Limiter à 25 le nombre d’élèves par classe.
- Extension de la scolarité obligatoire de 3 à 18 ans.
- "Plan Crèche" pour créer 500 000 places publiques d’accueil de la petite enfance pour les enfants de 0 à 3 ans.
- Constitution d’un SP unique d’accueil de la petite enfance : droit à l’accueil gratuit (crèche ou nourrice agréée) pour tout enfant de 0 à 3 ans (arrêt des « jardins d’accueil » instaurés pour les enfants de 2 à 6 ans qui ont causé la déscolarisation des 2/3 ans de 35% en 2001 à 20% en 2008).
- Unification des frais d’inscription universitaire au niveau le plus bas.
- Plan « Université » pour réengager l’Etat dans le pilotage et le financement de l’enseignement supérieur et la recherche. Refonte du Crédit d’Impôt Recherche pour supprimer les effets d’aubaine et tricheries fiscales.
- Droit à la "professionnalisation durable" à travers la création d’un SP national (unification formation initiale, formation continue, apprentissage et validation des acquis).
- SP d’aide scolaire.
Nos moyens :
Un autre partage des richesses (NB : 10 000 enseignants = 400 millions d€)
- Abrogation d’un certain nombre de mesures citées ci-dessus (Bouclier fiscal, subventions aux établissements privés, …) : « L’argent public doit aller exclusivement aux écoles publiques ».
- Refonte de la fiscalité directe (14 tranches au lieu de 5 sur l’IR dont la dernière – au-delà de 360 k€ annuels - confiscatoire).
"Il n’y a qu’une seule façon de tuer le capitalisme : des impôts, des impôts et toujours plus d’impôts » Karl Marx.
- Taxation des revenus du Capital au même niveau que le travail (gain : 100 Mds d’€).
- Fin des diverses exonérations de cotisations.
La question politique centrale est donc celle de la volonté d’affronter le capitalisme pour satisfaire les besoins de la société.
- En tant que "socialistes", l’EN est un moyen de tendre vers l’égalité d’accès au savoir et à la culture.
- En tant que "républicain", l’EN est un outil indispensable pour la souveraineté du peuple et l’émancipation des citoyens (Condorcet : "Des citoyens qui ne s’en laissent pas conter mais qui entendent qu’on leur rende des comptes.")
- En tant que français, l’EN est la ressource des Etats sans ressource.
Abrogations et arrêts :
- Suppressions de postes.
- Réforme de la formation des maîtres (réinstaurer une formation d’un an au moins).
- Versement de fonds publics vers l’enseignement privé (7 Mds pour écoles, collèges et lycées et 2 Mds pour le supérieur) (Lois Debré 1959 et Carle 2004 (facturation aux communes des frais de déplacement des élèves inscrits en école primaires privée même située hors de leur territoire : 500 M).
- Circulaire antilaïque du 28 mars 2001 « Code de bonne conduite des interventions des entreprises en milieu scolaire »)
Rappel : « les établissements scolaires sont libres de s’associer à une action de partenariat » par laquelle une entreprise « pourra faire apparaître discrètement sa marque » sur des "documents qui seront remis aux élèves"..
- Mesures qui conduisent à la suppression de la carte scolaire.
- Accord Vatican-Kouchner du 18/12/08 qui nie le monopole de la collation des grades universitaires en instaurant la reconnaissance par l’Etat des diplômes de l’enseignement supérieur catholique.
- Pacte sur la recherche et la loi LRU
- Décret Pécresse sur le statut des enseignants-chercheurs
- Décret Morano (Baisse de la qualité – déqualification du personnel et augmentation des seuils par adulte – des accueils des préscolaires et introduction de la Petite Enfance parmi les activités ouvertes à la concurrence conformément à la directive européenne "Services").
- Dispositif Raffarin de 2004 (portant « création de structures privées financées en partie sur fonds publics)
- Mesures sur le bac pro en 3 ans.
- Loi Fillon de 2005 et réformes Chatel des lycées
- Aides fiscales offertes aux officines de soutien scolaire.
- Opt out pour la directive européenne « Services »
Nos propositions :
- Limiter à 25 le nombre d’élèves par classe.
- Extension de la scolarité obligatoire de 3 à 18 ans.
- "Plan Crèche" pour créer 500 000 places publiques d’accueil de la petite enfance pour les enfants de 0 à 3 ans.
- Constitution d’un SP unique d’accueil de la petite enfance : droit à l’accueil gratuit (crèche ou nourrice agréée) pour tout enfant de 0 à 3 ans (arrêt des « jardins d’accueil » instaurés pour les enfants de 2 à 6 ans qui ont causé la déscolarisation des 2/3 ans de 35% en 2001 à 20% en 2008).
- Unification des frais d’inscription universitaire au niveau le plus bas.
- Plan « Université » pour réengager l’Etat dans le pilotage et le financement de l’enseignement supérieur et la recherche. Refonte du Crédit d’Impôt Recherche pour supprimer les effets d’aubaine et tricheries fiscales.
- Droit à la "professionnalisation durable" à travers la création d’un SP national (unification formation initiale, formation continue, apprentissage et validation des acquis).
- SP d’aide scolaire.
Nos moyens :
Un autre partage des richesses (NB : 10 000 enseignants = 400 millions d€)
- Abrogation d’un certain nombre de mesures citées ci-dessus (Bouclier fiscal, subventions aux établissements privés, …) : « L’argent public doit aller exclusivement aux écoles publiques ».
- Refonte de la fiscalité directe (14 tranches au lieu de 5 sur l’IR dont la dernière – au-delà de 360 k€ annuels - confiscatoire).
"Il n’y a qu’une seule façon de tuer le capitalisme : des impôts, des impôts et toujours plus d’impôts » Karl Marx.
- Taxation des revenus du Capital au même niveau que le travail (gain : 100 Mds d’€).
- Fin des diverses exonérations de cotisations.
La question politique centrale est donc celle de la volonté d’affronter le capitalisme pour satisfaire les besoins de la société.